La Corée du Sud annonce que, dès le 1ᵉʳ avril prochain, les voyageurs vaccinés n’auront plus à observer de quarantaine une fois sur place.
La Corée du Sud est le dernier pays asiatique en date à annoncer un assouplissement de ses strictes restrictions à l’entrée. À partir du 1ᵉʳ avril prochain, les voyageurs vaccinés pourront franchir les frontières du pays sans avoir à observer une quarantaine de dix jours obligatoire une fois sur place. Une actualité des plus réjouissantes pour le secteur touristique locale.
Entrée sans quarantaine, mais sous certaines conditions
D’ici à quelques semaines, tous les voyageurs présentant un schéma vaccinal complet n’auront plus à observer de quarantaine obligatoire une fois en Corée du Sud. Seront considérées comme entièrement vaccinées les personnes ayant reçu deux ou trois doses de vaccin. Si un individu ne présente que deux doses, la dernière devra toutefois avoir été administrée entre 14 et 180 jours avant l’arrivée en Corée.
Bien que la quarantaine sera abolie, les voyageurs devront tout de même réaliser un test PCR moins de 48 heures avant leur départ, un second test PCR à l’arrivée — dont le coût varie entre 80 et 100 euros — et un test antigénique rapide au sixième jour du séjour. Enfin, avant de partir, les voyageurs seront également contraints de s’enregistrer via le système Q-Code du gouvernement sud-coréen et d’y entrer leurs coordonnées et informations personnelles.
Jusqu’au 1ᵉʳ avril prochain, tous les voyageurs qui désirent se rendre au pays doivent observer une quarantaine de dix jours. « Les voyageurs titulaires d’un visa coréen de court séjour et qui ne sont pas considérés comme résidant en Corée sont confinés dans un lieu d’hébergement désigné par les autorités coréennes », rappelle le ministère des Affaires étrangères.
La levée de la quarantaine en Corée du Sud, en bref
Bientôt, les voyageurs vaccinés pourront enfin entrer en Corée du Sud sans avoir à observer de quarantaine. Ainsi, un autre pays d’Asie s’ouvre aux voyageurs étrangers. Bien que l’entrée soit encore conditionnée à plusieurs tests et donc à des frais supplémentaires, il s’agit d’une bonne nouvelle pour l’industrie touristique locale.
